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At LulLABy, science is fun, serious fun!
Dans ce projet, nous nous intéressons aux mécanismes cérébraux qui sous-tendent la capacité des bébés à reconnaître les visages. Nous utilisons à cet effet une technique dérivée de l’électroencéphalographie (EEG) : les potentiels évoqués stationnaires (SS-EP).
Nous cherchons par exemple à comprendre comment le bébé réagit face à des objets qui ressemblent à des visages (paréidolie). Ces stimuli recrutent-ils les régions “visages” ou d’autres régions ? Le contexte de présentation (visages, objets) a-t-il une influence sur la manière dont la paréidolie est traitée à cet âge de la vie?
Comment mon bébé
reconnaît-il les visages ?
Dans ce projet, nous nous intéressons aux mécanismes cérébraux qui sous-tendent la capacité des bébés à reconnaître les visages. Nous utilisons à cet effet une technique dérivée de l’électroencéphalographie (EEG) : les potentiels évoqués stationnaires (SS-EP).
Nous cherchons par exemple à comprendre comment le bébé réagit face à des objets qui ressemblent à des visages (paréidolie). Ces stimuli recrutent-ils les régions “visages” ou d’autres régions ? Le contexte de présentation (visages, objets) a-t-il une influence sur la manière dont la paréidolie est traitée à cet âge de la vie?
Dans ce projet, nous nous intéressons aux mécanismes cérébraux qui sous-tendent la capacité des bébés à reconnaître les visages. Nous utilisons à cet effet une technique dérivée de l’électroencéphalographie (EEG) : les potentiels évoqués stationnaires (SS-EP).
Nous cherchons par exemple à comprendre comment le bébé réagit face à des objets qui ressemblent à des visages (paréidolie). Ces stimuli recrutent-ils les régions “visages” ou d’autres régions ? Le contexte de présentation (visages, objets) a-t-il une influence sur la manière dont la paréidolie est traitée à cet âge de la vie?
Ce projet cherche à déterminer s’il est judicieux de parler de créativité chez le bébé de moins d’un an alors qu’il ne parle pas. Le plus souvent, le potentiel créatif d’un individu est en effet associé à des indices verbaux collectés soit auprès de l’exécutant, soit de l’observant. Or le bébé ne parle pas. Quand elle est investiguée sous le prisme des sciences cognitives, cette thématique impose également d’opérationnaliser le concept de manière plus stricte afin de le tester. Quelle réduction opérer ? Comment s’assurer de sa validité scientifique ?
Peut-on parler de créativité chez le bébé alors qu'il ne peut pas en attester? Dans le cadre de ce projet, nous avons décidé de passer par un artifice expérimental pour répondre à cette question. Celui-ci est basé sur l'observation d'un bébé entrain de manipuler un cube et consiste à observer le nombre de stratégies alternatives qu'il est capable de dérouler pour résoudre un problème.
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Les bébés montrent souvent une curiosité naturelle dès les premiers mois de leur vie. Ils explorent leur environnement, observent attentivement les objets et les personnes qui les entourent, et montrent un intérêt pour de nouvelles expériences sensorielles.
Cette curiosité précoce est souvent considérée comme un aspect important du développement cognitif et émotionnel des bébés, car elle les aide à acquérir des connaissances sur le monde qui les entoure et à développer leur compréhension du fonctionnement des choses.
A LulLABy, nous nous intéressons tout particulièrement à l'interaction qu'il existe entre curiosité et apprentissages précoces
Peut-on parler de curiosité précoce chez le bébé ?
Dans ce projet, nous nous intéressons aux mécanismes cérébraux qui favorisent la capacité des bébés à apprendre de ou dans un contexte social. Nous utilisons à cet effet, une technique dérivée de l’électroencéphalographie (EEG) : les potentiels évoqués stationnaires (SS-EP).
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Nous étudions, par exemple, si le cerveau des bébés réagit à des images sociales de manière différente par rapport à des images neutres. Nous nous intéressons également à ce qui se passe dans leur cerveau quand il y a des interactions sociales plutôt que pas d'interaction sociale pendant l'apprentissage.
Comment mon bébé
apprend-il de ou dans un contexte social?
Dans le cadre du projet "Illusion" d'optique", notre objectif est de rendre accessible au grand public les connaissances scientifiques que nous possédons.
Pour cela, nous réalisons des ateliers à l'Université Des Enfants, ciblant les jeunes de 6 à 12 ans, où nous utilisons des illusions d'optique de manière ludique pour enseigner le fonctionnement du système visuel.
En parallèle, nous sommes en pleine création d'un jeu de société destiné aux adolescents de 12 ans et plus qui exploite ces illusions d'optique pour leur offrir une expérience éducative et divertissante.